Astre Lunaire était directement partie chercher des herbes pour soigner ses confrères. Elle marchait, tout en renifflant les odeurs qui lui étaient familières.
-Oui ! Des baies de genièrves!
Elle attrapa les petites graines qui roulèrent au sol, les enfermèrent dans la grande feuille qu'elle avait trouvé plus tôt et continua son petit voyage. Un grand saule se tenait, droit comme un I. Elle gratta le tronc pour en recueillir l'écorce. Elle atteint ensuite une touffe de millefeuille dont elle coupa quelques tiges à la base, et un peu plus loin, un petit champ de lavande dons elle recueilli les tige. La guérisseuse transportait le tout dans sa grande feuille et apperçut une abeille. Si elle la suivait, celle-ci la menerait droit au miel, bon pour le mal de gorge ! C'est donc ce qu'elle fît, l'abbeille butina quelques fleurs sous leregard d'Aste Lunaire et reparti en direction de son essaim. La jeune femelle la suivait, elle se trouva au pied d'un arbre ou sur une branche était accroché une rûche. Les petits insectes tournoyaient, ou volaient chercher du nectar, ou encore nourrisaient les larves. Une vraie industrie ! Vu qu'elle avait repéré la rûche Astre Lunaire se mit en quête de pissenlit, on ne sait jamais, qu'elle se fasse piquer en prenant du miel, et pour ses camarades de clanscela pourrait servir. Elle en trouva au pied d'un arbuste et en cueillit une bonnte dizaine. De retour au pied de l'arbr, elle sauta sur le tronc et l'escalada en s'agripant de toutes ses forces. Ensuite, elle sauta sur la branche à laquelle le nid d'abeilles était suspendu, se coucha à quelques centimètres et passa sa patte en douceur dans le petit trou d'entrée, elle sentit soudain une douleur lui remonter toute la patte, puis lui atteidre le torse, il allait faire vite, elle risquait d'être attaquée par tout l'esaim ! Elle attrapas le miel, et sauta de l'arbre. Lorsqu'elle atterri par terre, sa patte la faisait souffrir, il falaitt s'enfuir avant le cri d'alerte des insectes ! Il fallait courir mais pas trop loin, sinon le poisont la tuerait. Elle trotta, sur trois pattes et apperçut l'essaim se diriger vers elle, elle avança plus vite et sauta dans le lac dans un plouf sonore apres avoir posé sa feuille pleine de remèdes. les abeilles tournoyèrent utour de l'eau puis repartirent dans un vrombissement. La femelle ressortit de l'eau tremblante tnt ses force l'abandonnait, elle attrapa un pissenlit dans la feuille et le mâchona pour faire sortir le jus, elle peinait à mâcher. Sa fin était proche, elle recracha en vitesse le jus pateux sur le bout de sa patte, puis s'évanouit de douleur et de joie, elle était presque sauvée.